Quand elle est partie, on a presque vu le SCCCUL en pleurs.
Perdre Anne-Marie, ce n’était pas un petit deuil à faire.
« Tout », elle l’avait?
Mieux, elle l’était!
Brillante, minutieuse, compétente (experte même!), professionnelle, coriace lorsqu’il le fallait, conciliante dès que le bon sens se présentait… Merveilleuse, intégralement.
Mais son départ, c’était pour une promotion, et on s’entend qu’elle ne l’avait pas volée.
Anne-Marie, on te pleure un peu encore, mais surtout, on t’invite à te joindre à nous pour cette victoire : notre victoire, celle dont tu as manqué les tout derniers revirements, mais pour laquelle tu as œuvré à poser tous les jalons, c’est en immense partie la tienne.
Viens festoyer avec nous, on se braillera pudiquement dans les bras (ça se peut-tu ça?), pis on chantera, on lèvera nos verres à ta santé, on rira.
On t’aime.