Aurélie Lanctôt, « Transmissions », Le Devoir, 6 septembre 2019

« (…) Mais qu’est-ce que cela ferait à notre société de dépecer une formation pensée pour transmettre aux étudiants un socle de connaissances jugées essentielles, indépendamment du marché, des « compétences », des exigences du marché ? La valeur de ce qu’on transmet échappe souvent à la conscience, puisqu’on en mesure mal l’effet en temps réel. La culture, la pensée, la mémoire, les savoir-faire anciens qui informent les gestes que l’on pose au présent : bien des choses inestimables peuvent disparaître sans faire le moindre bruit.

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