L’évènement marquant de l’actualité récente est sans nul doute la marche du 27 septembre qui a rassemblé près de 25 000 personnes sur la Grande-Allée et devant le Parlement. Cette marche a été une véritable réussite de la volonté populaire, qui a manifesté son désaccord devant l’inertie des gouvernements à prendre des mesures concrètes devant la dégradation de la planète. La Planète s’invite partout maintenant, grâce à nos voix de citoyens et de citoyennes mobilisés pour l’avenir de notre environnement naturel et social. L’inertie devant cet enjeu majeur du 21e siècle n’est plus une option.
Des membres du SCCCUL y ont participé et sont fiers d’avoir mis l’épaule à la roue, partageant l’effort avec plusieurs générations réunies pour cette journée mondiale de manifestation : de jeunes enfants portant des pancartes parlant de leur avenir inquiétant, des adolescents critiques et révoltés, des adultes espérant une terre viable pour leurs enfants et leurs petits-enfants.
Nous avons tous et toutes des raisons de souhaiter que les gouvernements mettent en place des mesures efficaces pour diminuer l’impact négatif de notre mode de vie, qui n’a pas su tenir compte de la destruction qu’il engendre. Car si la transition s’annonce difficile pour certains, ne rien faire sera pire encore!
Le milieu syndical est fortement mobilisé par cette question, comme le démontre plusieurs articles de cette édition.