Le ministre de l’Environnement et de la Lutte contre les changements climatiques du Québec, Benoît Charrette, a fait l’annonce d’un accroissement de la norme sur le nickel permis dans l’air ambiant, faisant passer celle-ci de 14 nanogrammes par mètre cube à un plafond de 70 nanogrammes par mètre cube, soit cinq fois plus que ce qui est permis actuellement. Cette décision est lourde de conséquences pour la santé des travailleuses et travailleurs des quartiers de la Basse-Ville de Québec.
Une pétition a été rédigée par un groupe de parents de Limoilou résumant l’indignation qu’ils et elles vivent face à l’inaction pour améliorer la qualité de l’air dans nos quartiers et la volonté qu’un changement profond s’opère
Un mémoire a été déposé au ministère de l’Environnement et de la Lutte aux changements climatiques le 20 février. Rédigé par un groupe de parents de Limoilou, il résume notre indignation face à l’inaction pour améliorer la qualité de l’air dans nos quartiers et notre volonté qu’un changement profond s’opère.
Une lettre,signée du secrétaire général du Conseil central, acheminée au responsable de la consultation publique, dénonce la hausse annoncée de la norme sur le nickel.
Solidairement,
François Proulx-Duperré
Secrétaire général Conseil central Québec Chaudières-Appalaches (CSN)