La rectrice de l’Université Laval, Sophie D’Amours, a présenté récemment son Rapport à la communauté universitaire, sorte de bilan qui a remplacé la traditionnelle assemblée générale de l’UL. La formule est plus conviviale et dynamique et attire un plus grand nombre de personnes.
Au menu de ce rapport, plusieurs sujets qui éclairent les différents visages de l’Université, présentés par l’équipe des vice-recteurs et vice-rectrices et la présidente du conseil d’administration. Il y a été question de réussites, de remerciements envers ceux et celles engagés dans la communauté universitaire, d’objectifs atteints (notre université est maintenant carbo-neutre), d’innovations dans les programmes d’études, dans la recherche et la recherche-création, d’internationalisation de la recherche au moyen de collaboration avec des chercheurs étrangers.
Au plan financier, l’UL s’en tire bien avec l’atteinte de l’équilibre budgétaire, ceci grâce aux efforts des facultés pour contrôler leurs dépenses. Mais il n’a pas été question des sacrifices consentis pour l’atteinte de cet équilibre. La question demeure ouverte.
L’Université Laval entend bien avoir une influence marquante sur la société et s’engage dans des programmes de formation adaptés aux besoins du marché, notamment en ce qui concerne la transition vers le numérique de nombreux milieux de travail.
L’environnement de travail n’est pas en reste avec la volonté de la direction d’en faire un milieu équitable, diversifié et inclusif.
Un rapport (hyperlien : https://www.ulaval.ca/notre-universite/rapport-a-la-communaute ) est disponible sur le site de l’Université.