La Table des partenaires universitaires (TPU) entend poursuivre sa critique des compressions sévères qui se sont exercées (et s’exercent encore) dans le milieu de l’enseignement supérieur et en dénoncer les effets négatifs. Le 15 février dernier, les membres de la communauté universitaire (enseignants, étudiants et employés) de la plupart des campus québécois étaient invités à venir inscrire sur un feuillet les effets concrets de ces compressions sur leur travail. Ces feuillets ont ensuite été rassemblés, toutes universités confondues, dans un pot de fleurs et déposés à l’Assemblée nationale, où une conférence de presse s’est tenue pour l’occasion le 16 février.
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Cette manifestation d’ampleur nationale a suscité plusieurs articles dans la presse écrite. Parmi les médias ayant souligné l’évènement, on trouve :
Chez nous, à l’Université Laval :
- Impact Campus –Québec : « Réparer les pots cassés pour l’éducation »
- Le Soleil (Québec) : « Des pots cassés pour le ministre Moreau »
- Le Journal de Québec : « Haro sur l’austérité dans les universités »
Ailleurs, sur les autres campus :
- Le Journal de Montréal : « Haro sur l’austérité dans les universités»
- L’Avantage-Rimouski : « Jour de protestation à l’UQAR lundi »
- La Pige (Jonquière) : « Plus de 200 messages pour le ministre Moreau » (
- La Tribune (Sherbrooke) : « Pause-café pour dénoncer les compressions dans les universités»
- Le Droit (Outaouais) : « Syndiqués et étudiants de l’UQO dénoncent les compressions»
La radio a diffusé aussi quelques nouvelles qui ont aussi donné de la visibilité à cette manifestation de mécontentement de la part des universitaires (enseignants, employés, étudiants) :
- 98,5 (Outaouais) : « Des messages pour dénoncer les compressions à l’UQO »
- Ici Radio-Canada (Abitibi) : « Un pot, mais pas de fleurs pour le nouveau ministre de l’Enseignement supérieur »
- Ici Radio-Canada (Outaouais) : « Nouvelle mobilisation contre les compressions »
